Nolan Blythe "Validé niv 3"
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Nolan Blythe "Validé niv 3"
Partie IRL :
Prénom : Grégoire.
Age : Dix-neuf ans.
Etudes/job actuel(les) : Maîtrise de philo (ouais, une carrière qui a plein d’avenir, je sais).
Région habitée : Paris !
Trait de caractère principal : J’hésite entre « perfection » et « modestie ».
…
Nan sérieusement je sais pas trop. La paresse ?
Partie RP :
Pseudo : Nolan Blythe.
Age : Trente-cinq ans.
Race souhaitée : Humain.
Caractéristiques physiques :
Nolan a la banalité confortable d’un homme qu’on peut rencontrer dix fois dans une journée sans retenir les traits de son visage.
Ses cheveux bruns et emmêlés, ses yeux noirs et ses joues creuses le font se fondre tout à fait dans la foule des villes humaines, dans ces milliers de silhouettes grisâtres qui s’en vont du lit au travail et du travail au lit sans que jamais rien de remarquable ne leur arrive.
À trente ans passés, il a déjà au coin des lèvres et des yeux les rides de ceux qui ont beaucoup ri, ou pleuré ; son teint cireux atteste qu’il sort plus volontiers la nuit que le jour, et qu’il passe beaucoup de temps auprès de ses livres. Son regard est brumeux, ses mouvements calmes ; on dirait quand il parle qu’il est très loin de son interlocuteur, comme absorbé dans des pensées impénétrables au monde extérieur. Un examen poussé révèlerait la condition physique et les cicatrices d’un ancien soldat, cachées sous des écharpes et des manteaux élimés. Mais qui s’y livrerait ?
Du reste, Nolan n’a ni le goût, ni la volonté nécessaires à bien s’habiller, et porte ses pardessus gris jusqu’à ce qu’ils tombent en lambeaux ; avec sa sacoche sur l’épaule et ses gants tachés d’encre, il joue à la perfection le rôle du plumitif sans ambition vivant au crochet d’un marchand. À l’exception, parfois, d’une lueur rusée dans son regard, d’une discrète expression de méfiance ou de rouerie, il est le plus ordinaire des habitants de Munduce.
Traits de caractère principaux :
Nolan a vu des fermes brûler et des paysans ramper dans la poussière pour qu’on épargne leur vie. Il a vu les fastes des palais marchands, leurs tapisseries tissées d’or, leurs vitraux multicolores et la délicatesse des sculptures qui les ornent. Il a vu les épidémies et les inondations, les guerres ; et d’entre elles, il en a vues qu’avaient causé la folie, la cupidité et l’honneur. Il a vu les puissants s’allier et se déchirer, connaître victoires et défaites ; et il a vu que quoiqu’il arrivât, le peuple souffrait toujours. Il s’est battu, il a aimé, il a écrit ; et il en est ressorti cynique.
Non, aucune de ces expériences n’a alimenté sa foi en l’humanité. Elles l’ont même sapée au point de le convaincre que tout homme, pour peu que les circonstances l’y poussent, se conduira comme la pire des hyènes – que sa nature même est celle d’une bête sauvage, toujours à l’affût d’un plus faible à exploiter. Et comme il ne voulait pas être un agneau, il a décidé qu’il serait du côté des loups.
Nolan est un grand partisan des masques : au hobereau, il paraîtra sophistiqué ; au marchand, digne de confiance ; au soldat, intrépide. Quel que soit le milieu où il évolue, il essaie d’en prendre les tics, les coutumes, le style, de façon à se fondre dans le décor. Et partout, il observe, esquive les questions personnelles, essaie d’en apprendre le plus en en disant le moins. Dans la mesure où son travail l’amène à rechercher la compagnie des puissants, à gagner leur confiance, et à livrer finalement leurs secrets à son employeur, on pourrait le dire sournois – mais le mot ne recouvre pas grand-chose pour lui.
Il pose d’ailleurs très peu de freins moraux à ses actions. Le meurtre ne le met que légèrement mal à l’aise ; le vol, pas du tout. L’altruisme lui est parfaitement étranger, et il ne voit la générosité que comme un instrument de manipulation. Quant à la pitié, il feint d’en ignorer le sens. C’est du moins ce qu’il aimerait se faire croire… À vrai dire, Nolan n’est ni tout à fait indifférent à la misère ambiante, ni oublieux de ses origines humbles. Il lui arrive d’avoir des accès de bonté, des crises d’abnégation ; fort heureusement, elles sont temporaires.
Histoire de ton personnage :
ah, et j'allais presque oublier: noussa powa
Prénom : Grégoire.
Age : Dix-neuf ans.
Etudes/job actuel(les) : Maîtrise de philo (ouais, une carrière qui a plein d’avenir, je sais).
Région habitée : Paris !
Trait de caractère principal : J’hésite entre « perfection » et « modestie ».
…
Nan sérieusement je sais pas trop. La paresse ?
Partie RP :
Pseudo : Nolan Blythe.
Age : Trente-cinq ans.
Race souhaitée : Humain.
Caractéristiques physiques :
Nolan a la banalité confortable d’un homme qu’on peut rencontrer dix fois dans une journée sans retenir les traits de son visage.
Ses cheveux bruns et emmêlés, ses yeux noirs et ses joues creuses le font se fondre tout à fait dans la foule des villes humaines, dans ces milliers de silhouettes grisâtres qui s’en vont du lit au travail et du travail au lit sans que jamais rien de remarquable ne leur arrive.
À trente ans passés, il a déjà au coin des lèvres et des yeux les rides de ceux qui ont beaucoup ri, ou pleuré ; son teint cireux atteste qu’il sort plus volontiers la nuit que le jour, et qu’il passe beaucoup de temps auprès de ses livres. Son regard est brumeux, ses mouvements calmes ; on dirait quand il parle qu’il est très loin de son interlocuteur, comme absorbé dans des pensées impénétrables au monde extérieur. Un examen poussé révèlerait la condition physique et les cicatrices d’un ancien soldat, cachées sous des écharpes et des manteaux élimés. Mais qui s’y livrerait ?
Du reste, Nolan n’a ni le goût, ni la volonté nécessaires à bien s’habiller, et porte ses pardessus gris jusqu’à ce qu’ils tombent en lambeaux ; avec sa sacoche sur l’épaule et ses gants tachés d’encre, il joue à la perfection le rôle du plumitif sans ambition vivant au crochet d’un marchand. À l’exception, parfois, d’une lueur rusée dans son regard, d’une discrète expression de méfiance ou de rouerie, il est le plus ordinaire des habitants de Munduce.
Traits de caractère principaux :
Nolan a vu des fermes brûler et des paysans ramper dans la poussière pour qu’on épargne leur vie. Il a vu les fastes des palais marchands, leurs tapisseries tissées d’or, leurs vitraux multicolores et la délicatesse des sculptures qui les ornent. Il a vu les épidémies et les inondations, les guerres ; et d’entre elles, il en a vues qu’avaient causé la folie, la cupidité et l’honneur. Il a vu les puissants s’allier et se déchirer, connaître victoires et défaites ; et il a vu que quoiqu’il arrivât, le peuple souffrait toujours. Il s’est battu, il a aimé, il a écrit ; et il en est ressorti cynique.
Non, aucune de ces expériences n’a alimenté sa foi en l’humanité. Elles l’ont même sapée au point de le convaincre que tout homme, pour peu que les circonstances l’y poussent, se conduira comme la pire des hyènes – que sa nature même est celle d’une bête sauvage, toujours à l’affût d’un plus faible à exploiter. Et comme il ne voulait pas être un agneau, il a décidé qu’il serait du côté des loups.
Nolan est un grand partisan des masques : au hobereau, il paraîtra sophistiqué ; au marchand, digne de confiance ; au soldat, intrépide. Quel que soit le milieu où il évolue, il essaie d’en prendre les tics, les coutumes, le style, de façon à se fondre dans le décor. Et partout, il observe, esquive les questions personnelles, essaie d’en apprendre le plus en en disant le moins. Dans la mesure où son travail l’amène à rechercher la compagnie des puissants, à gagner leur confiance, et à livrer finalement leurs secrets à son employeur, on pourrait le dire sournois – mais le mot ne recouvre pas grand-chose pour lui.
Il pose d’ailleurs très peu de freins moraux à ses actions. Le meurtre ne le met que légèrement mal à l’aise ; le vol, pas du tout. L’altruisme lui est parfaitement étranger, et il ne voit la générosité que comme un instrument de manipulation. Quant à la pitié, il feint d’en ignorer le sens. C’est du moins ce qu’il aimerait se faire croire… À vrai dire, Nolan n’est ni tout à fait indifférent à la misère ambiante, ni oublieux de ses origines humbles. Il lui arrive d’avoir des accès de bonté, des crises d’abnégation ; fort heureusement, elles sont temporaires.
Histoire de ton personnage :
- Spoiler:
- Dans les contes d’apothicaire
Vingt ans, c’est une somme de bonheur ;
Mes vingt ans sont morts à la guerre,
De l’autre côté du champ d’honneur.
Si je connus un temps de chien certes
C'est bien le temps de mes vingt ans.
Cependant nous pleurons sa perte :
Il est mort, c’était le bon temps.
Georges Brassens, Le Temps passé.
Nolan vient de naître, et sa mère pleure. Au-dehors, le sol est glacé depuis deux mois, et une neige dense ne cesse de tomber, effaçant maisons, champs et clochers sous son blanc uniforme. Dans la masure, le poêle brûle encore, mais plus pour longtemps ; isolé de l’extérieur, le village ne pourra bientôt plus subvenir à ses propres besoins.
Une naissance à ce moment est un évènement accablant, et l’enfant, assurément, est condamné : où trouverait-on le lait, les langes, la chaleur nécessaires ? Le père tâche tout de même de sourire, car c’est son premier fils – un évènement qu’il avait attendu avec impatience, avant que la famine ne survienne. Il passe une main rugueuse sur le crâne de l’enfant, recouvert d’un mince duvet brun. Les petits yeux noirs de Nolan regardent ce qui l’entoure avec intensité, et sans angoisse, comme s’il voulait rassurer sa famille, leur promettre que tout se passera bien.
« Il n’a pas le regard d’un paysan », commente un oncle.
Le père fronce les sourcils.
« Je ne sais pas si c’est une bonne chose. »
Et pourtant, il le nommera Nolan, ce qui signifie « noble. »
-
Nolan a dix ans. L’âge des famines est passé, et il a survécu – d’abord parce qu’il était robuste, mais aussi grâce à l’aide qu’a apportée à la famille un monastère voisin. Comme son père, les moines pensent que l’enfant a du potentiel, et il passe un temps considérable dans l’enceinte du cloître. Il aime la fraîcheur du presbytère, les gargouilles grimaçantes de la chapelle et l’odeur de l’encens qu’on brûle en l’honneur de Sigmar.
Il aime aussi beaucoup la bibliothèque du monastère, où frère Anselme passe ses après-midi et ses soirées à enluminer les textes sacrés, recroquevillé sur son écritoire comme un bernard-l’ermite dans sa coquille. Il lui a appris à lire plusieurs des langues humaines, et même certains mots elfiques, car Anselme est un ancien marchand revenu tard à la religion. Il lui raconte ses voyages, ses rencontres ; il lui parle des elfes, les orcs, des nains, et le petit garçon à ses pieds écoute tout, fasciné.
Le reste du temps, il le passe dans les champs. En été, il aide à la moisson ; en automne, aux semailles. Sa vie est calme et régulière, dénuée d’incidents, rythmée par les travaux ruraux.
-
Nolan a quinze ans. Il adresse à la fille des fermiers d’à côté des poèmes qu’elle ne lit pas, parce qu’elle ne sait pas lire. Il rêve d’aventures, de démons ; la vie au village lui pèse.
Un jour, il a vu passer près du village un groupe de cavaliers, dont le chef lui a dit obéir au Duce. Couverts de métal, suivis par une grande enseigne blanche, ils semblaient venir d’un autre monde, celui des contes ou des légendes.
Anselme, qui a eu vent de la chose, a mis Nolan en garde contre la carrière des armes ; il l’a encouragé à se consacrer plutôt à l’étude, pour laquelle il a, paraît-il, des dons. Qu’importe ! L’esprit du jeune homme est empli du fracas des armes et du bruit de sa renommée future.
Désormais, ni Sigmar, ni les livres, ni la terre ne suffiront à le satisfaire. Par un matin d’août déjà brûlant, il vole le cheval bai de son père et quelques provisions, et s’enfuit vers la ville la plus proche.
En route, il est surpris par un orage d’été, et bientôt il chevauche sous une pluie tiède et épaisse, accompagnée par le roulement intermittent du tonnerre. C’est un souvenir qu’il chérira toute sa vie : l’odeur des fleurs et du foin mouillé autour de lui, l’eau qui lui fouette le visage, les flancs brûlants du cheval dont la sueur, une écume grise, s’accumule là où frottent les rênes, avant d’être dissoute par la pluie. Enfin, trempé, hilare, il arrive aux portes de Munduce.
La ville lui paraît énorme, plus grande que tous les villages, tous les châteaux qu’il a vus. L’immense forêt de tuiles grises imbriquées les unes dans les autres, d’où émergent, de loin en loin, des tours et des clochers, ressemble à la peau d’un très vieil animal venu mourir près de la mer. Et les murailles, les portes ferrées, les mâchicoulis ont quelque chose de monstrueux ; leurs dentelures, pour le jeune homme, ont l’aspect de crocs prêts à se refermer sur lui.
Pourtant, une énergie démesurée bouillonne en lui, prête à tout pour s’épancher. Il erre quelques heures dans les rues populeuses, ébloui par les denrées rares des marchés et les accoutrements des visiteurs venus de tout le continent. Puis, remarquant une affiche de recrutement du Duce, il se rend à l’adresse indiquée, et finit par signer un contrat militaire de huit ans dans un régiment de cavalerie.
-
Nolan a vingt-trois ans, et sa soif de sang ne s’est jamais étanchée. Dans les missions où l’a envoyé le Duce, il a combattu presque toutes les créatures qui existent, tant dans le cadre du Pacte des Cinq que pendant des opérations illicites. Comme il a l’esprit solide, obstiné et dénué de scrupules, il s’en est toujours sorti ; il est même monté en grade, et commande maintenant sa propre troupe.
Il sait que son service touche à sa fin, mais son avenir ne fait aucun doute : il se réengagera encore et encore, jusqu’à obtenir la renommée qu’il croit mériter.
Mais la guerre est une maîtresse ingrate, qui lui réserve des surprises.
Un jour qu’il part en reconnaissance dans un bois obscur, il est attaqué par des brigands ; il est frappé à la tempe, dépouillé de ses armes et de sa bourse, et laissé pour mort. Ses hommes ne le retrouvent que le lendemain matin, transi, affamé, le visage couvert de sang.
On le ramène à Munduce, mais il a des étourdissements, des faiblesses ; au moment de faire son rapport au Duce, il manque de s’évanouir. Comme c’est un agent précieux, on le fait examiner par un barbier qui se pique de chirurgie, lequel conclut que son coup à la tête lui a ébranlé le cerveau. À l'avenir, plus question de monter à cheval ; on le dissuade de se réengager, et, encore déstabilisé par ce changement soudain, il est rendu à la vie civile.
-
Nolan a trente ans. Depuis quelques années, il vit mal, de petits boulots pas très honnêtes, de rackets un peu minables qui lui font honte. Frustré par cette médiocrité, il monte un coup plus ambitieux : il veut kidnapper un marchand opulent, le cacher quelque part dans la campagne et ne le restituer à ses proches que contre une grosse rançon.
Un ami qu’il a dans le milieu connaît justement la maîtresse d’un négociant en charbon ; celle-ci accepte de les aider en échange d’une part du butin. Le grand soir arrive : avec deux hommes de main, Nolan est dissimulé dans la chambre de la jeune femme, près à sauter sur le marchand quand il passera le seuil.
Mais en fait de marchand, ce sont trois gens d’armes qui déboulent à l’intérieur et s’emparent des complices. « L’ami » du milieu, expliquera-t-on au procès, était une taupe, un agent embusqué.
Nolan se retrouve dans un cachot de deux mètres sur trois, à même le sol, avec un peu de paille pourrie en guise couchette. La seule source de lumière est une lucarne poussiéreuse à une dizaine de mètres du sol ; quant à l’ordinaire de la prison, c’est un brouet sale composé d’eau aux cinq sixièmes.
Mais sa chance n’a pas tout à fait tourné. Au trentième jour de sa captivité, il reçoit la visite d’un homme élégant, vêtu entièrement de noir, à l’exception d’une pochette rouge dans la poche de poitrine de sa veste croisée.
L’homme entre, renifle l’air du cachot avec une expression de dégoût visible, et se présente enfin comme l’un des responsables des services de renseignement du Duce ; il commente les états de service de Nolan, plaint sa déchéance, l’admoneste pour son crime.
Enfin, après mille circonlocutions, il arrive au cœur du sujet : pour asseoir son pouvoir, le Duce veut infiltrer l’entourage de certains marchands trop indépendants à son goût, afin d’être certain à tous moments de leurs faits et gestes. Pour cela, il a besoin d’hommes fidèles, ambitieux, rusés, prêts à jouer un rôle de composition pendant plusieurs années de leur vie. Et Nolan, apparemment, correspond au profil.
À vrai dire, ce dernier n’hésite pas longtemps. Entre le trou sordide où il est censé passer ses quinze prochaines années, et la vie excitante d’un agent secret, le choix est vite fait. L’envoyé du Duce se propose de revenir dans deux jours, pour lui laisser le temps de réfléchir, mais Nolan l’interrompt : il veut sortir du cachot le plus vite possible, et à tout prix.
-
Nolan a trente-quatre ans. Ce matin, il a reçu une lettre du monastère lui apprenant que frère Anselme était finalement mort l’hiver dernier, et pour une raison inconnue cette nouvelle l’a plus touché que celle de la mort de son père. Joint à la missive était un petit livre d’aspect précieux – un exemplaire des évangiles de Sigmar, relié et enluminé par Anselme lui-même. Il a longtemps tourné et retourné le manuscrit dans ses mains, comme s’il soupesait tous les souvenirs, tous les regrets qu’il faisait remonter en lui.
Et maintenant, assis entre les créneaux des murailles de Munduce, il regarde le soleil se lever sur l’océan, et les eaux s’irisant de couleurs diaphanes ; et quoiqu’il peine à l’avouer, sa gorge se serre un peu. Pourtant, il est de nouveau en faveur : les renseignements qu’il transmet au Duce sont sans prix dans les luttes de pouvoir souterraines qui agitent le royaume. Quant au marchand qu’il espionne, il ne soupçonne aucune duplicité de la part du secrétaire modèle qu’est Nolan ; tout va pour le mieux.
Tandis que les voiles des premiers navires du matin se déploient, éclatantes sur l’eau sombre, Nolan ne peut s’empêcher de se demander si ce métier sournois est vraiment le destin dont il rêvait ; peut-être devrait-il prendre des vacances dans un endroit calme, et réfléchir au chemin parcouru.
Mais déjà les cloches sonnent huit heures, et après un dernier regard pour la mer il repart au travail.
ah, et j'allais presque oublier: noussa powa
Dernière édition par Yuke le Jeu 13 Mai 2010 - 16:22, édité 4 fois (Raison : Fautes d'orthographes, déshonneur, etc.)
Nolan Blythe- Age : 33
Messages : 5
Date d'inscription : 01/04/2010
Points de Progression : 50
Re: Nolan Blythe "Validé niv 3"
Su-blime!
Me suis régalé =)
J'adore ton personnage, ainsi que ton avatar O..O (tu le tires d'où d'ailleurs? Tu connais l'artiste?)
Bon, je valide cette présentation... Niveau 4?
Ah mince je peux pas ><
Bon bè niveau 3 ^^
Un autre membre du staff viendra donner son avis avant de rendre la chose officielle et de t'attribuer tes stats. Si tu as besoin d'aide sur le forum, n'hésite pas à poser des questions aux modos Itrenog et Nathrae.
Et tant que j'y suis... La présentation te donne droit à 2 points de compétences, que tu peux répartir comme suit:
- 2 pts en Arts du Combat (si ton perso est plutôt guerrier)
- 2 pts en Essences Magiques (si ton perso est plutôt mage)
- 1 pt dans chaque (si ton perso est polyvalent).
Bonne continuation
PS: au fait, c'est Munduce, et pas Monduce ^^
Me suis régalé =)
J'adore ton personnage, ainsi que ton avatar O..O (tu le tires d'où d'ailleurs? Tu connais l'artiste?)
Bon, je valide cette présentation... Niveau 4?
Ah mince je peux pas ><
Bon bè niveau 3 ^^
Un autre membre du staff viendra donner son avis avant de rendre la chose officielle et de t'attribuer tes stats. Si tu as besoin d'aide sur le forum, n'hésite pas à poser des questions aux modos Itrenog et Nathrae.
Et tant que j'y suis... La présentation te donne droit à 2 points de compétences, que tu peux répartir comme suit:
- 2 pts en Arts du Combat (si ton perso est plutôt guerrier)
- 2 pts en Essences Magiques (si ton perso est plutôt mage)
- 1 pt dans chaque (si ton perso est polyvalent).
Bonne continuation
PS: au fait, c'est Munduce, et pas Monduce ^^
Dernière édition par Yuke le Jeu 15 Avr 2010 - 17:20, édité 1 fois
Re: Nolan Blythe "Validé niv 3"
L POWAAAAAAAAAAAA !!!! è_é =O
Maitrise de philo, mais c'est exellent ça ! Tu mérites un niveau 3 rien que pour ça xD
Plus sérieusement...
Je suis pas admin, mais si je l'étais, je mettrai niveau 3 direct, sans aucune hésitation. J'aime trop ton style, il est agréable à lire, fluide, pas de fautes *_*
Et en plus de ça, j'aime trop ton personnage, son histoire...
Bref, que du bon tout ça
Bienvenue sur les Terres de Naravel Nono \ o /
Maitrise de philo, mais c'est exellent ça ! Tu mérites un niveau 3 rien que pour ça xD
Plus sérieusement...
Je suis pas admin, mais si je l'étais, je mettrai niveau 3 direct, sans aucune hésitation. J'aime trop ton style, il est agréable à lire, fluide, pas de fautes *_*
Et en plus de ça, j'aime trop ton personnage, son histoire...
Bref, que du bon tout ça
Bienvenue sur les Terres de Naravel Nono \ o /
Erylis- Age : 31
Messages : 915
Date d'inscription : 24/01/2010
Points de Progression : 50
Re: Nolan Blythe "Validé niv 3"
T_T
Comment c'est trop bien... (comme d'habitude, j'ai envie de dire)
Quoi ? Bah, niveau 3, bien sûr. Qui n'a jamais vu une évidence aussi évidente !
Il ne te reste plus donc qu'à choisir la répartition de tes deux points de compétence, et bienvenue (enfin !!) sur Naravel...
Tu as l'autorisation de me spammer si quelque chose ne va pas. =P
Edit Yuke: voilà qui est donc décidé.
Je t'attribue dès cet instant tes stats de départ: 250 PV, 250EN, 250MA
et t'inclue dans le Petit Peuple ^^
Comment c'est trop bien... (comme d'habitude, j'ai envie de dire)
Quoi ? Bah, niveau 3, bien sûr. Qui n'a jamais vu une évidence aussi évidente !
Il ne te reste plus donc qu'à choisir la répartition de tes deux points de compétence, et bienvenue (enfin !!) sur Naravel...
Tu as l'autorisation de me spammer si quelque chose ne va pas. =P
Edit Yuke: voilà qui est donc décidé.
Je t'attribue dès cet instant tes stats de départ: 250 PV, 250EN, 250MA
et t'inclue dans le Petit Peuple ^^
Dernière édition par Nathrae le Jeu 15 Avr 2010 - 21:33, édité 1 fois
Re: Nolan Blythe "Validé niv 3"
Hé, merci de votre accueil ! (:
Yuke :
L'artiste s'appelle "sweetmoon" et elle est sur DeviantArt.
Pour les deux points de compétence -- ben 2 en Arts du Combat, ça me paraît le plus logique.
(Et j'ai corrigé la faute, merci :p)
Erylis :
Haha, merci ! Les littéraires sont en voie de disparition, on devrait trop être une espèce protégée.
Nathrae :
Je vais me gêner, tiens.
(lol je sais ça m'a pris deux semaines pour enlever deux cent mots, je travaille lentement)
Yuke :
L'artiste s'appelle "sweetmoon" et elle est sur DeviantArt.
Pour les deux points de compétence -- ben 2 en Arts du Combat, ça me paraît le plus logique.
(Et j'ai corrigé la faute, merci :p)
Erylis :
Haha, merci ! Les littéraires sont en voie de disparition, on devrait trop être une espèce protégée.
Nathrae :
Je vais me gêner, tiens.
(lol je sais ça m'a pris deux semaines pour enlever deux cent mots, je travaille lentement)
Nolan Blythe- Age : 33
Messages : 5
Date d'inscription : 01/04/2010
Points de Progression : 50
Re: Nolan Blythe "Validé niv 3"
Bonsoir, je viens de terminer la lecture de ta présentation et mamamia quel niveau tu as O_O Comme mes collègues je serais d'avis d'un niveau 4 s'il était disponible ^^
Personnage extremement intéressant ainsi que l'histoire j'ai hatte de te suivre dans tes Rps pour toutes questions n'hesite surtout pas à contacter nos modaux ou à poster dans le bureau du staff
Je valide tes points de compétence
Bonne soirée
Personnage extremement intéressant ainsi que l'histoire j'ai hatte de te suivre dans tes Rps pour toutes questions n'hesite surtout pas à contacter nos modaux ou à poster dans le bureau du staff
Je valide tes points de compétence
Bonne soirée
Alrik- Admin
- Age : 33
Messages : 2017
Date d'inscription : 07/12/2009
Points de Progression : 0
Re: Nolan Blythe "Validé niv 3"
J'en étais sûr ><L'artiste s'appelle "sweetmoon" et elle est sur DeviantArt
Moi qui voulait être le premier à utiliser une de ses créas pour un de mes kits... J'aurai dû le faire plus vite ^^
Nathrae est ton homologue féminin alors =)(lol je sais ça m'a pris deux semaines pour enlever deux cent mots, je travaille lentement)
Reste à voir si t'es aussi fou (ça a l'air bien parti ><)
Mais noon, de ma part c'est un compliment. (enfin je crois) (non?) (si, quand même) (hein ^^) (oui...) (ahah, vous voyez?) (j'ai toujours raison, tfaçon) (
Bref.
*se dit que ce serait bien préparer un chti truc liens utiles pour les présentations.*
*va harceler le staff*
Re: Nolan Blythe "Validé niv 3"
Mais non mais non je suis très sain d'esprit la plupart du temps :>
Sinon puisqu'on parle de trucs pour les présentations, j'ai remarqué que l'histoire des humains utilise l'orthographe "Monduce" alors que le reste du forum parle de "Munduce" -- c'est ça qui m'avait induit en erreur. Au cas où vous voudriez standardiser...
(hahaha trois messages et je suis déjà en train de pinailler)
Sinon puisqu'on parle de trucs pour les présentations, j'ai remarqué que l'histoire des humains utilise l'orthographe "Monduce" alors que le reste du forum parle de "Munduce" -- c'est ça qui m'avait induit en erreur. Au cas où vous voudriez standardiser...
(hahaha trois messages et je suis déjà en train de pinailler)
Nolan Blythe- Age : 33
Messages : 5
Date d'inscription : 01/04/2010
Points de Progression : 50
Re: Nolan Blythe "Validé niv 3"
XD
1 écart et l'humanité est perdue...
Merci d'avoir noté. C'est corrigé.
1 écart et l'humanité est perdue...
Merci d'avoir noté. C'est corrigé.
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