[Présentation] La Geste de Veljaia "validé niv 3"
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[Présentation] La Geste de Veljaia "validé niv 3"
Partie IRL :
Prénom : Alain
Age : Vingt-deux ans.
Etudes/job actuel(les) : Fin d’étude, informatique.
Région habitée : Paris (France), anciennement Saint-Paul (Île de la Réunion).
Trait de caractère principal : A vous d’en juger, camarades ! Laissons donc les étiquettes de côté ~
Partie RP :
Ce message de présentation est amené à évoluer, car l’histoire que je souhaite vous conter connaît plusieurs visages, plusieurs protagonistes. Je vais vous parler d’une forteresse, d’une étoile et d’une légende, chacune souvent mise en chanson, et connue sous le nom de La Geste de Veljaia. Ce récit, toutefois, trouve ses fondations, son socle et sa base… en la personne d’Anduin le Souveneur. Sur le chemin de la merveilleuse Veljaia, il pave d’une première pierre nos aventures.
I – Le Bateleur (ou Le Magicien)
VI – L’Amoureux (« PJ », à venir, prochainement)
XI – La Force (« PNJ », à venir, sous peu)
Code secret: NOUSSA POWA!
Notes et remarques diverses :
Prénom : Alain
Age : Vingt-deux ans.
Etudes/job actuel(les) : Fin d’étude, informatique.
Région habitée : Paris (France), anciennement Saint-Paul (Île de la Réunion).
Trait de caractère principal : A vous d’en juger, camarades ! Laissons donc les étiquettes de côté ~
Partie RP :
Ce message de présentation est amené à évoluer, car l’histoire que je souhaite vous conter connaît plusieurs visages, plusieurs protagonistes. Je vais vous parler d’une forteresse, d’une étoile et d’une légende, chacune souvent mise en chanson, et connue sous le nom de La Geste de Veljaia. Ce récit, toutefois, trouve ses fondations, son socle et sa base… en la personne d’Anduin le Souveneur. Sur le chemin de la merveilleuse Veljaia, il pave d’une première pierre nos aventures.
I – Le Bateleur (ou Le Magicien)
- Spoiler:
Nom : Anduin « Le Souveneur », né Mercatore de Bénévent à Munduce.
Age : Vingt-neuf années.
Race : Être Humain.
Caractéristiques physiques :
Rédigée aux premières heures de l’Equinoxe de Printemps, An 844, Sixième Âge.
L’iris pigmenté d’un gris minéral –d’argile claire- et la chevelure noire comme l’encre qui goutte de ma plume. Mon fils, Anduin, est un homme de forte taille au vu des standards de la famille. Haut d’à peu près une toise (un mètre quatre-vingt), il a bien peu de muscle mais déborde de vigueur. Ne t’y laisse pas prendre, cher cousin, car sous ses airs de grand escogriffe maigrelet, il a forgé ses aptitudes au combat dans nombre de tripots malfamés. Spécialement ceux dont je lui avais interdit la visite.
Aux dernières nouvelles, il s’habillait de ces tuniques amples qu’affectionnent les jeunes godelureaux de sa sorte, se coiffait d’un large chapeau à plume –parfaitement ridicule- et chaussait des braies imbibées de bière rance et de jus de viande. Au ceinturon, le benêt ne se départit plus d’une large chope gravée de ses initiales, tâchant d’imiter les manières de quelconques mercenaires en maraude, ce à quoi il réussit bien mal. La dernière fois qu’il s’est présenté à ma table, le nigaud s’est essayé à vider d’un seul trait le demi-litre de Gindka que contenait son récipient fétiche. J’ai pu, à l’occasion, constater de quoi s’était constitué son déjeuner de la veille, raison pour laquelle c’était bien la dernière fois qu’il se présentait à ma table…
Mon puîné m’a avoué que son frère avait récemment décoré sa tête d’ahuri d’une toute nouvelle balafre, tracée par une lame aventureuse, ayant voyagé de la joue gauche au coin de la mâchoire. Heureusement bien soignée, la ligne blanche et boursouflée qui demeure n’enlaidit guère ton jeune neveu. Nous l’avons échappé belle. Il ne couvrira pas davantage d’opprobre les armoiries familiales en nous faisant le tort d’être un laideron.
Quoiqu’il en soit, l’Epée pend encore à son côté, et c’est bel et bien la dernière insulte que je tolèrerai de sa part. Les affres du commerce à Selëvenoy accaparent toute mon attention, aussi, je compte sur toi pour mener à bien les procédures nécessaires pour le déshériter en bonne et due forme, mais également pour le soustraire au regard de mes pairs du Conseil qui se gaussent ouvertement des facéties cruelles de l’hérédité.
Du Mercaestro Valente de Bénévent à l’Espaliere Gunte Feddore.
Missive retrouvée dans le coffre personnel de Gunte Feddore, jugé pour trahison le septième jour du festival de commémoration de La Volpe. Connu comme Hiver Rouge de l’An 848, Sixième Âge.
Traits de caractère principaux :
La gamine se tenait à l’écart, recroquevillée contre le mur de planches dépenaillées. Les manches des guenilles qu’elle laissait pendre sur son petit corps émacié dissimulaient ses mains, un réflexe d’auto-défense qu’elle avait rapidement acquis. Le regard vide, malheureuse comme les pierres, elle offrait un spectacle qu’Aleph trouvait pénible à contempler.
- Le Souveneur… quel genre de personne est-ce… ?
Trop heureux de ne pas la voir s’apitoyer davantage sur son sort, Aleph répondit avec entrain. L’elfe avait une voix de conteur, chaude et musicale, qui tâcha de sauver la fillette de la prison terne de ses soucis.
- Anduin est ce que je crois être une bonne personne. Jeune et naïve, irresponsable et enjouée. Il semble penser, à tort, que le monde repose dans un équilibre précaire sur ses frêles épaules, et fait de son mieux pour le supporter. Il se mêle ainsi de ce qu’il croit être ses affaires, qui ne le sont aucunement, et bondit à la rescousse de ses pairs du Petit Peuple, qui souvent aimeraient bien qu’il aille fourrer sa truffe ailleurs. Le garçon est malgré tout quelqu’un de nerveux, ainsi le blanc commence à fleurir sur ses tempes…
Comme l’enfant poussait un petit cri de douleur, Aleph lui jeta un regard soucieux. Elle s’était piquée le dos contre la paroi hérissée d’échardes, avec un mince soupir de soulagement, l’elfe poursuivit aussitôt son récit, désireux de l’empêcher de songer à ses autres blessures… autrement plus cruelles.
- Il est né sous le nom de Bénévent, d’une famille qui était en quelque sorte le fromage croustillant de ce gros gratin qu’est Munduce. Il devait être mauvais fils, ce dont je ne doute guère, et fut déshérité l’année de son dix-neuvième anniversaire. Anduin ne s’en souciait guère, mais ce fut pour lui un bienheureux évènement, car son nom de naissance rayé des registres, on ne l’associa pas aux siens lorsque s’épanouirent les gibets de l’Hiver Rouge…
Le Conseiller Valente de Bénévent, son maître-marchand de père, fomenta quelque malheureuses félonies, et lui, ainsi que tous ses pairs et alliés, vinrent se balancer au bout des cordes. Le Souveneur avait alors vingt-trois ans. Etrange comme son manque de sérieux d’alors lui sauva la mise. L’incident a nettement grignoté son sens de l’humour, mais pour peu que tu grattes un bout, tu verras qu’il sait toujours comment sourire.
La manche de l’enfant acheva de glisser le long de son bras gauche. Dans un sursaut pitoyable, elle se recouvra aussitôt, le visage livide et les lèvres tremblantes… mais Aleph avait déjà vu ce qu’il n’y avait pas à voir. Sans faire mine de prêter la moindre attention au moignon de la petite, il acheva son récit.
- Finalement, que dire de plus… c’est un être paternel, qui sous ses atours doux et chaleureux, devient en vérité chaque jour plus tranchant. Quand bien même n’a-t-il que peu de goût pour les ducats, il les recherche avidement, car il pense connaître la chanson sur laquelle danse ce petit monde.
Il est encore jeune, mais n’aura guère le loisir de le rester… alors il grandira. Siffla doucement l’Elfir en guise de conclusion.
Les paupières de l’enfant battaient comme le font les ailes du papillon bleu, néanmoins, le vent du sommeil se montrait le plus fort.
- Toi-aussi… il t’a sauvé… ? Interrogea-t-elle finalement, la voix pâteuse et lointaine, provenant déjà du monde des rêves.
- C’est l’inverse, petite Asfälé. C’est Aleph, encore et toujours ce brave Aleph qui fait en sorte qu’on ne lui fourre pas le croupion dans la marmite.
L’Histoire du Bateleur :
Né dans le giron des puissants mais n’ayant pas su y demeurer, il foule de son pas hasardeux le grand chemin de la vie. Ainsi, dans le milieu du mercenariat, Il est le Souveneur. Un surnom des plus étranges pour une épée-à-louer ordinaire, mais bien qu’il ne fasse guère l’évocation de ses maigres talents (tares aux yeux d’aucuns), la rumeur le nomme déjà ainsi.
Des moutons de poussières accompagnaient chacun de ses pas. Anduin n’avait pas l’impression de reconnaître les couloirs du manoir de sa jeunesse. L’eau avait coulé sous les ponts. Dix ans déjà s’étaient attelés à déformer ses souvenirs, et ils y étaient parvenu avec brio. Les parois étaient couvertes d’une couche de lèpre grise, qui s’échinait sans grand succès à passer pour de la pierre de maçonnerie coûteuse. Les lambeaux de chiffons suspendus évoquaient vaguement le velours carmin des tapisseries d’antan, cependant, les lustres copieusement rouillés qui paressaient contre le sol nu ne faisaient, eux, aucun effort. Les terres du domaine de Bénévent avaient pourtant dû être rachetées. Retrouvant le chemin de sa chambre de jadis, le Souveneur riait jaune. L’opprobre qui souillait le nom familial était tellement féroce que tous refusaient de s’y voir associé.
Les débris d’étagères avaient été renversés, une grande partie des livres avait brûlé, marbrant la pièce de taches de suif. Ecartant de la botte un reliquat de chaise noircie par le feu, Anduin s’avança vers ce qui fut son bureau d’étude. Le meuble branlait un peu, mais il avait tenu bon, les doigts du Souveneur dessinèrent des sillons dans l’épaisse couche de poussière grise qui l’habillait. Fugitivement, le jeune homme se revoyait, la tête appuyée contre le bois, libérant ce flot de larmes qu’il avait alors appris à contenir en présence de son précepteur. Les exercices lui donnaient la nausée, occasionnaient de terribles migraines qu’il surmontait afin de coucher sur le papier ses ressentis, ses expériences et ses sensations. Il écrivait alors jusqu’à ce que vienne poindre la fadeur de l’aube, retenant son aigreur et les hoquets de son chagrin. Toujours avec cette même plume, il écrivait…
Anduin ôta sa main du bureau. La plume… il y avait peu de chance qu’elle ait quitté la pièce, mais avait-elle survécu au début d’incendie ?
Touchant parfois un débris ou l’autre, il approcha la fenêtre et fouilla dans les monceaux de son ancien coffre à vêtements. Le Souveneur s’immobilisait parfois, un objet au poing, avant d’orienter ses recherches dans d’autres directions. Sous une poutre brisée, derrière le voile de cendres grises, reposait la plume de son enfance, son manche en étain rompu en deux parties. Adolescent, Anduin avait usé de l’outil jusqu’à ce qu’il épouse la paume de sa main, jusqu’à ce qu’il lui marque la chair et orne ses doigts de minces durillons. Maîtrisant son souffle, le Souveneur s’ouvrit à l’essence, s’y fit perméable, et plongea. Comme il le faisait alors, en compagnie de son terrible précepteur…
La forme grotesque, dérobée aux regards par une houppelande noire, fixait sur son dos des yeux flamboyants. La créature épiait ses réactions, observait ce que seuls pouvaient voir ses iris embrasés. Elle le terrifiait. Le houspillait d’une voix éthérée -et pourtant grondante comme le fourneau d’une forge- lorsque ses explications étaient trop brèves, lorsqu’il ne trouvait plus les mots pour décrire ses expériences ou lorsque la nausée le terrassait, qu’il vomissait de douleur dans la bassine posée près de la chaise. Pourtant, jamais l’Être des Profondeurs ne l’avait touché. Il n’en ressentait pas le besoin. Sa seule parole avivait la souffrance du garçon, lui pinçait les chevilles comme si on les couvrait soudain de cire chaude, lui coupait la respiration et lui donnait l’impression de suffoquer, un goût âcre de soufre et de fumée dans la bouche…
- Prends ceci. Révèle-moi à qui il a appartenu. Soufflait la Chose, l'Omerädies, ses mains difformes et grossières, couvertes d’écailles, lui tendaient alors un objet, une dague, un anneau, un livre… parfois même un petit animal où il lui faudrait puiser des souvenirs. Par lequel il lui faudrait revivre le passé, parfois vif et brûlant : la pointe de flèche qui ouvre la gorge du Centore, les mains de l’époux qui se referment sur le cou de sa promise, parfois ténu et insignifiant : le sage renverse un boc de bière sur sa lecture, des images diffuses et désordonnées d’une chasse à la souris. Alors le jeune Anduin hurlait comme l’acier lui déchirait la trachée, commençait à s’étouffer dans la bile qui lui emplissait la bouche, avisait le vieil homme spectral qui poussait un juron, ou déchiquetait sa proie, riant de sa souffrance et jouant avec elle jusqu’à ce que la lassitude le gagne, pour finalement l’abandonner sous un meuble quelconque.
Quand le monstre lui présenta une coupe, au fond taché de lie de vin, un Anduin plus âgé retira sa main de la plume. La nausée déferla aussitôt, dans une vague frémissante qu’il tâcher de contrer, respirant fort, pratiquant les exercices de relaxation mentale que le précepteur lui enseignait alors. Le Souveneur s’était retiré à temps. Il ne souhaitait pas revivre, même par lointaine procuration, l’expérience qu’offrait la coupe. La Syssine qu’elle contenait était un poison vicieux, et l’enfant qu’il était alors avait été plongé dans les trois jours de fièvre et de souffrance du buveur. De cet épisode, Anduin chassa brusquement le souvenir.
Après tout ce temps… pourquoi revenait-il sur les terres de son enfance ? Le déshérité lui-même n’en était pas bien sûr. Peut-être était-ce à cause de la Petite au poignet tranché. Elle-aussi, venait de perdre ses proches, et l’océan de douleur dans son regard éveillait en lui un douloureux écho. Il s’était toujours promis de revenir un jour… et voilà qu’il l’avait fait, aiguillonnant les plaies doucement cicatrisées de son cœur. Le Souveneur vit de nombreuses autres choses. Une poupée de lin écru lui montra sa jeune sœur, traînée hors du manoir par les soldats du Duce. Une dalle de pierre tachée fit brûler dans son esprit la brève apparition de son puîné, s’écrasant la tête la première contre le sol, la mâchoire ensanglantée. Venaient d’autres remembrances, parfois plus anciennes, souvent peu joyeuses. Un dîner à la table du maître et de la maîtresse Bénévent, où la honte et l’écœurement flamboient dans les regards, le fils aîné regarde dans le vide, la bouche faiblement ouverte, l’essence le pénètre à nouveau, lui révèle la substance de jadis, un phénomène incompréhensible aux yeux des nobles marchands… D’autres images fugaces, un guérisseur se présente au portail, suivi plus tard de magiciens divers, et enfin du démon voilé de noir, celui qui enseignera au jeune Anduin à maîtriser ce que l’on nomme « Un Don d’Immanance ».
L’apprentissage ne donna pas les résultats escomptés. Le Souveneur du passé git au sol, agité de convulsions, régurgite le contenu de son estomac. Son esprit se vide, son contenu chassé par la matière extraite des temps d’autrefois. Le précepteur gronde, sa voix claque comme un fouet et couvre le corps de l’enfant de striures violacées. Rien n’y fait, le garçon hurle et se débat, ses cris lancinants éveillent le manoir… les serviteurs sont ameutés, ainsi que les maîtres. La transe refuse à s’arrêter, le jeune Anduin retraverse le long processus de torture d’une sentinelle capturée. La vision dura trois jours.
Le Souveneur glissa ses mains dans les poches de ses braies. Même maintenant, la mémoire le submergeait, invasive et coléreuse. Ce « don », peut-être ne le maîtriserait-il jamais.
C’était dans le bureau du Mercaestro que les dégâts étaient les plus importants. S’abstenant de toucher aux boiseries éclatées, enjambant les cendres poussiéreuses, Anduin marcha jusqu’à la fenêtre brisée. Un vent glacé chantait dans la pièce, et la terre et les feuilles pourrissantes parvenues à l’intérieur par temps d’orage dansèrent avec lui. Au-dessus des battants, claqués par les rafales, s’incrustait sur le mur le blason familial. Le lion carmin des Bénévent, armé et lambrissé d’argent, avait piteuse mine. Les envahisseurs, ne parvenant pas à le desceller, l’avaient griffé et martelé au point de le rendre méconnaissable. Une double poignée rouillée surmontait le symbole héraldique, dans laquelle aurait dû reposer l’Epée qu’il portait au côté. Un maigre sourire se déroula sur les lèvres du Souveneur. Il n’avait guère plus que cela à voir… ensuite, il partirait.
- Il s’agit de l’arme du Centore Anderico, bras droit du Duce di Volgo. Psalmodiait fièrement le Mercaestro, le fourreau laqué de noir au poing. Notre aïeul, et le plus grand guerrier de sa génération. Il mena la charge décisive contre les hordes infernales, et bouta les Vanäthies renégats hors de nos frontières lors de la bataille du tertre d’Alcantare.
Regardant son aîné, Valente de Bénévent piétinait de ses allées et venues la riche moquette de son bureau. Le père surveillait le fils, l’œil vif, attentif au moindre « accès de nigauderie », un terme dédaigneux, qui emplissait de fiel la bouche du paternel. Le jeune Anduin demeurait pétrifié, les mains sur les genoux, terrorisé à l’idée que viennent de nouveau le trouver les gerbes d’images et leurs spectres délavés.
- Si tu te révèles un jour être un duelliste confirmé, ce qui ne semble pas près d’arriver, tu gagneras le droit, toi-aussi, de porter l’arme de tes ancêtres au côté. De confronter tes ennemis de la terrible lame d’Anderico de Bénévent !
Mensonges. Le Souveneur posa doucement la main sur la poignée de son épée. Le propriétaire qui avait marqué la lame de sa mémoire ne portait guère ce nom-là… pas plus qu’il n’avait quoi que ce soit à voir avec la noble famille des Bénévent.
Le doigt sur le pommeau d’acier bombé, Anduin quitta la pièce, l’expression sereine.
Né dans le giron des puissants mais n’ayant pas su y demeurer, il foule de son pas hasardeux le grand chemin de la vie. Ainsi, de la Geste de Veljaia, il est le Bateleur. Le premier visage de notre histoire, mais aussi le dernier.
Membres de l’Equipée du Bateleur :
Arcanes Mineurs :
- La Petite. Âgée de quatorze années au jour de leur rencontre. Chapardeuse miséreuse aux parents criblés de dettes. Les termes du contrat étaient de les mener à l’abri, avec guère de succès. Désormais orpheline et mutilée, elle se cache en compagnie d’Aleph le temps que le Souveneur débusque ses détracteurs. Une enfant plus forte qu’elle n’en a l’air.
- Aleph. Un troubadour Elfir, célèbre pour son inconstance. A rencontré le Souveneur au cours de ses errances, et semble s’être pris d’intérêt pour sa personne. Il demeure une énigme, et paraît pleinement s’en satisfaire.
Arcanes Majeurs:
Equipement:
- Ancienne Epée de Soldat.
Arme règlementaire des troupes armées du Duce Alessandra di Reggio. L’aspect est ordinaire, mais l’œil aguerri ne s’y trompera pas. La lame est empreinte de la plus primaire des magies, celle qui s’éveille dans le sang, la souffrance et la mort. De facture conventionnelle, c’est de prélever le dernier souffle de milliers d’ennemis qui en éveilla l’acier. L’épée n’était qu’ordinaire, mais la main qui la maniait ne l’était aucunement. Néanmoins… c’est là une information dont seul un Souveneur pourrait se prévaloir.
Portée : Courte-Moyenne / Nature : De poing, magique / Effet : +25 Intelligence Max.
- Ceinturon du mercenaire. (Un emplacement d’arme : Epée).
Large ceinture de cuir, adaptée au port du fourreau. Singularité : un mousqueton de fer, situé à l’arrière, permet à qui le désire d’y accrocher sa chope fétiche. Non pas que la pratique soit pour autant répandue, ni même digne d’être ici mentionnée.
VI – L’Amoureux (« PJ », à venir, prochainement)
XI – La Force (« PNJ », à venir, sous peu)
Code secret: NOUSSA POWA!
Notes et remarques diverses :
- Spoiler:
- Comme vous l’aurez sûrement compris, les protagonistes de la Geste de Veljaia se comptent au nombre de vingt-deux, soit la quantité d’Arcanes Majeurs du Tarot. Toutes les cartes ne sont toutefois pas destinées à vivre pleinement l’aventure, mais elles seront certainement toutes représentées. L’aventure, une fois un peu développée, sera d’ailleurs ouverte à tous et à toutes, si tant est que vous souhaitiez prendre possession de l’un des Arcanes.
- Parce que le projet se veut orienté de manière très… scénaristique, il ne peut décemment vivre sans le concours des maîtres de jeu. Aussi, d’ici peu, je demanderai certainement la permission d’intégrer les protagonistes aux évènements majeurs qui agitent Naravel, afin que la Geste puisse graviter non loin des bouleversements du Sixième Âge.
- Le message de présentation sera édité en conséquence de l’avancée de la Geste. D’autres Lames se glisseront rapidement dans l’aventure, ce qui occasionnera la création d’une poignée de nouveaux personnages (mais tous les Arcanes Majeurs ne seront pas suffisamment importants pour justifier une nouvelle création. Il est prévu, pour le moment, entre trois et quatre réels protagonistes. Dont le premier est bien évidemment : Le Bateleur, aussi nommé Magicien, selon la version.)
- Précision lexicologique. Les termes définis pour évoquer les titres de la population de Munduce ont été recueilli auprès de Yuke. Il faudra peut-être les définir clairement quelque part !
- Ah, et si vous pouviez changer mon pseudonyme actuel en "La Geste de Veljaia", je vous serai reconnaissant ^^
Dernière édition par La Geste de Veljaia le Mer 19 Oct 2011 - 21:32, édité 1 fois
La Geste de Veljaia- Age : 34
Messages : 12
Date d'inscription : 25/04/2011
Points de Progression : 50
Re: [Présentation] La Geste de Veljaia "validé niv 3"
Sublime présentation, j'aime beaucoup =)
Je suggère donc un niveau 3.
J't'officialise tout, jte mets en blanc (étant donné que ton pseudo n'est pas un personnage, comme moi).
Jte mets par défaut les stats humaines, à adapter en combat. (tu me MP au besoin).
Je suggère donc un niveau 3.
J't'officialise tout, jte mets en blanc (étant donné que ton pseudo n'est pas un personnage, comme moi).
Jte mets par défaut les stats humaines, à adapter en combat. (tu me MP au besoin).
Le Staff de Naravel a écrit:Voici une petit récapitulatif de liens qui peuvent grandement t'aider sur ce forum:
- Guide du Nouveau (vivement conseillé)
- Rechercher un partenaire (RP, affrontement, jeu)
- S'affronter (en-RP, Hors-RP, Simulations)
- Le Staff de Naravel
Re: [Présentation] La Geste de Veljaia "validé niv 3"
Hello ~
Après une lecture, certes, longue, je t'accorde avec plaisir le niveau 3 =)
Tu a donc droit à 70 capaz actives à répartir entre Puissance, Résistance, Intelligence et Concentration, ainsi que 2 capaz passives, entre Vitalité, Chance, Vitesse et Dextérité, sachant que tu a déjà 75 vitalité et 1 vitesse par défaut! =D
Voilà voilà!
Annat'
Après une lecture, certes, longue, je t'accorde avec plaisir le niveau 3 =)
Tu a donc droit à 70 capaz actives à répartir entre Puissance, Résistance, Intelligence et Concentration, ainsi que 2 capaz passives, entre Vitalité, Chance, Vitesse et Dextérité, sachant que tu a déjà 75 vitalité et 1 vitesse par défaut! =D
Voilà voilà!
Annat'
Annatar- Admin
- Age : 30
Messages : 1051
Date d'inscription : 17/12/2010
Points de Progression : 50
Re: [Présentation] La Geste de Veljaia "validé niv 3"
Yay ~
Merci bien à vous deux !
Les capacités actives du Batelier seront réparties ainsi :
Puissance : 10 / Résistance : 15 / Intelligence : 20 / Concentration : 25.
Pour les deux capacités passives, Anduin va gagner un point en Vitesse et un autre en Chance.
Merci bien à vous deux !
Les capacités actives du Batelier seront réparties ainsi :
Puissance : 10 / Résistance : 15 / Intelligence : 20 / Concentration : 25.
Pour les deux capacités passives, Anduin va gagner un point en Vitesse et un autre en Chance.
Dernière édition par La Geste de Veljaia le Jeu 20 Oct 2011 - 0:03, édité 1 fois
La Geste de Veljaia- Age : 34
Messages : 12
Date d'inscription : 25/04/2011
Points de Progression : 50
Re: [Présentation] La Geste de Veljaia "validé niv 3"
*___* Tout comme mes petits camarade j'ai beaucoup apprécié ton style. Un niveau 3 pour moi également même si tu étais déjà validé ^^
Bonne chasse sur Naravel et éclate toi bien surtout
Bonne chasse sur Naravel et éclate toi bien surtout
Alrik- Admin
- Age : 33
Messages : 2017
Date d'inscription : 07/12/2009
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